Dans le meilleur des cas, les champs de colza sont cultivés en France. Cependant, son exploitation n’est pas sans conséquence et notamment lorsqu’il s’agit de végétaux utilisés à des fins non-alimentaires. Ces cultures empiètent sur les terres arables au détriment donc des cultures alimentaires.
Le modèle actuel nous montre ses limites, et nous prouve son inefficacité ne serait-ce que pour répondre aux besoins primaires de l’humanité, à savoir : manger à sa faim.
En France, nous utilisons plus de 500.000 hectares pour cultiver le colza, pour un usage non-alimentaire (encres végétales et bio-carburant notamment).
Mais alors, quel est leur impact réel sur notre environnement ?
La France n’a toujours pas banni les pesticides, fongicides, et insecticides qui détruisent la biodiversité de notre nature, et polluent les nappes phréatiques.
Ces végétaux sont, certes, naturels, mais leur exploitation se fait encore généralement dans des cultures intensives qui utilisent des moyens chimiques destructeurs de l’environnement. Leur impact environnemental et sur notre santé est difficilement estimable, tant il est important. Nous pouvons affirmer avec certitude que ces cultures intensives participent à la disparition des abeilles pollinisatrices, entre autres.
Pour info, les abeilles rendent un service gratuit à l’Homme estimé à 150 milliards de dollars en 2005, en pollinisant nos arbres fruitiers et nos fleurs pour nous apporter de fruits et légumes.